• Le 19 mars, une Marche pour la Justice et la Dignité

     

    Le comité lyonnais du Collectif du 19 mars propose un départ en car afin de converger à Paris dimanche 19 mars dans le cadre de la Grande Marche nationale pour la Justice et la Dignité contre le racisme, l’islamophobie, les violences policières, la hogra, la chasse aux migrant.E.s.
    Venez vous joindre à nous pour converger touTEs ensemble à l’occasion de ce moment politique historique. Aller-retour en car dans la journée :
     départ 06 h du matin métro Gerland, arrivée 12h30 Paris
     retour 17h30 Paris gare de l’Est, arrivée Lyon 23h59.
    Tarif réduit : 30 € chômeurs/étudiants/RSA/précaires. Tarif normal : 35 €. Tarif de soutien : 50 €
    Un départ collectif en car est d’un point de vue politique d’une très grande importance. En effet, il permet à celles et ceux -souvent les premierEs concernéEs- dont les moyens financiers sont les plus limités de participer à cet événement politique majeur pour un coût relativement réduit (15 € aller et 15 € retour). De plus, le transport en car est un moment propice aux rencontres militantes, favorisant échanges et moments politiques puissants. Ces expériences politiques sont assez rares pour qu’en soit relevé la pertinence. Enfin, il nous semble essentiel de démontrer l’importance de la mobilisation du 19 mars pour la Justice et la dignité face à l’urgence politique qu’exige la problématique du racisme, des violences policières et de la répression des mouvements sociaux. Nous estimons que les départs en car collectif participent à cette nécessité politique : ils font exister concrètement l’ampleur nationale de cette mobilisation.
    Vous pouvez donc réserver vos places en car sur ce site : https://www.eventbrite.fr/e/billets-car-militant-au-depart-de-lyon-pour-la-marche-du-19-mars-a-paris-32607792786
    En cas de difficultés financières et si vous souhaitez participer à la marche ou si vous souhaitez que vous soit proposée une solution d’hébergement, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse 19marslyon@laposte.net. La solidarité doit permettre à toutes et tous de participer à cet événement.
    Enfin, dans le but de réduire le coût du trajet des personnes les moins dotéEs financièrement et afin de nous aider à réaliser ce projet, nous invitons celles et ceux qui le peuvent à se solidariser et ainsi participer à son financement via notre cagnotte Leetchi
    Merci à toutes et tous pour votre soutien et votre mobilisation !
    Fraternellement,
    le comité Lyonnais pour la marche du 19 mars.

     

    Pour lire l’appel des familles de victimes de crimes policiers:

     

     


  • Le 8 mars à 15h40 : grève des femmes !

     

    Pour refuser le travail gratuit et exiger l’égalité professionnelle, nous appelons à des arrêts de travail à 15h40 dans toute la France et sur tous les lieux de travail. Montrons que nous devons toutes et tous rester solidaires, vigilant.e.s et dans la lutte pour renforcer nos acquis et obtenir de nouveaux droits.
    Le 8 mars à 15h40, toutes et tous dans l’action, toutes et tous dans la grève : rassemblement le 8 mars de 15h40 à 18h, place de la Comédie, Lyon 1er (métro Hôtel de Ville).


    Pourquoi faire grève ?
     

    Faire grève parce que :


     - les femmes sont toujours payées 26% de moins que les hommes ;
     - le travail domestique est encore à la charge des femmes à hauteur de 72% ;
     - elles sont 30% à travailler à temps partiel ;
     - elles sont concentrées dans des métiers dévalorisés socialement et financièrement ;
     - elles n’ont pas de déroulé de carrière ;
     - elles gagnent moins de primes, d’heures supplémentaires ;
     - elles touchent 39% de moins que les hommes à la retraite.


    À 15h40, pourquoi ?


    15h40, c’est l’heure à laquelle les femmes arrêtent d’être payées chaque jour, sur la base d’une journée standard (9h‑12h30/13h30-17h).
    La journée du 8 mars ne se « fête » pas par un cadeau ou une distribution de fleurs, ce n’est pas la journée de « la femme » mais une journée internationale de lutte pour les droits des femmes.
    En 2017, le contexte politique, social et économique international comme national n’offre pas de répit pour tout.e.s celles et ceux qui œuvrent à plus d’égalité et de justice sociale.
    La banalisation des idées d’extrême droite, la montée des conservateurs dans les élections (aux Etats-Unis, dans différents pays Européens notamment), la répression du mouvement social sont des signes inquiétants pour nos droits.


    En 2017, nous voulons : 
     - l’égalité salariale dans les métiers et la revalorisation des salaires dans les métiers à prédominance féminine ;
    - le partage des tâches domestiques et des services publics de prise en charge de la petite enfance et des personnes âgées dépendantes ;
     - la garantie du droit d’accès à l’avortement et à la contraception dont la légitimité est sans cesse remise en cause ;
     - un égal accès à la santé et aux services publics garants d’une égalité de traitement pour toutes et tous ;
     - la fin des violences sexuelles et sexistes à l’encontre des femmes : au travail, dans l’espace public comme à la maison.
     - des politiques volontaristes contre les stéréotypes de genre : à l’école, dans les médias, dans la vie publique et privée.


    Nous ne sommes pas seul.e.s !
    Elles étaient plus de 300 000 à manifester en Pologne pour le droit à l’avortement.
    Elles étaient en grève en Islande pour obtenir l’égalité des salaires.
    Elles étaient en grève en Argentine contre les violences. Elles se sont mobilisées contre Donald Trump aux Etats-Unis.
    Le 8 mars 2017, grève internationale dans une trentaine de pays !


    Rassemblement 8 mars
    de 15h40 à 18h
    Place de la Comédie, 69001 LYON
    (Métro Hôtel de Ville)

     

    préavis déjà déposés:

    FERC
     Fonction publique (Appel commun CGT/FSU/Solidaires Fonction publique / Fédération autonome)
     Ports et docks (Sociétés de nettoyage)
     Santé/Action sociale
     Fédération banques et assurances
     Mines énergie
     Commerce
     Cheminots (préavis à 15h40)

    Métropole de Lyon
     TEFP du Rhône (Ministère du Travail et de l’Emploi)
     Ville de Lyon + Spécifique Crèche.

    Signataires :
    Femmes Égalité, Femmes Solidaires, Planning Familial, Ligue des Droits de l’Homme, Union Départementale CGT Rhône et Métropole, FSU Rhône, Solidaires Rhône, Sud Education 69, UNEF, Parti de Gauche, Ensemble !, NPA, Alternative Libertaire, Coordination des Groupes Anarchistes...
     


  • Rapport 2016 d’Amnesty International : menaces sur les droits en France

    Comme chaque année à la même époque, l’ONG Amnesty International sort son rapport sur les droits humains dans le monde. Comme on s’y attendait, le chapitre « France » de ce rapport 2016 n’est pas bon…

     

    En savoir plus : www.amnesty.fr/actualites/rapport-france

     


  • 2 films à voir:

     

    « Chez nous » : un film de fiction inspiré par l’accession au pouvoir du FN à Hénin-Beaumont

    Le 22 février 2017 est sorti Chez nous, un film de fiction inspiré par l’accession au pouvoir du FN à Hénin-Beaumont. Ce drame, réalisé par le cinéaste belge Lucas Belvaux et tourné dans le département du Pas-de-Calais, est adapté d’un roman noir de Jérôme Leroy intitulé Le Bloc.
    Parmi les actrices et acteurs principaux, citons Émilie Dequenne, André Dussollier, Guillaume Gouix, Anne Marivin et Catherine Jacob. Cette dernière joue le rôle de la présidente d’un parti d’extrême droite cherchant à se dédiaboliser, une présidente dont le portrait, le comportement et les propos font penser à Marine Le Pen.
    Le film raconte comment une jeune mère célibataire (rôle incarné par Émilie Dequenne) est approchée par le Bloc patriotique (un parti xénophobe et nationaliste faisant penser au FN) pour se présenter aux élections municipales dans une ville “imaginaire” dénommée Hénard.
    Après avoir vu la bande-annonce, Steeve Briois (l’actuel maire FN d’Hénin-Beaumont) a traité le film de « navet » et s’en est pris au physique de l’actrice Catherine Jacob. Quant à Florian Philippot, le vice-président du FN, il a trouvé que la sortie du film était « absolument inadmissible » en raison de sa proximité avec l’élection présidentielle du 23 avril 2017.


    Bande-annonce du film :

     

    Extrait de la note d’intention de L. Belvaux publiée dans le dossier de presse du film :


    CHEZ NOUS est un film engagé […]. Il n’est pas militant pour autant, il n’expose pas vraiment de thèse. J’ai essayé de décrire une situation, un parti, une nébuleuse, de décortiquer son discours, de comprendre son impact, son efficacité, son pouvoir de séduction. De montrer la désagrégation progressive du surmoi qu’il provoque, libérant une parole jusqu’ici indicible. D’exposer la confusion qu’il entretient, les peurs qu’il suscite, celles qu’il instrumentalise. Le film ne s’adresse pas en priorité, et ne doit pas s’adresser, qu’à des gens mobilisés, très au fait de ce qu’est vraiment l’extrême-droite. Ce qu’il dit, montre, raconte, tout le monde peut le savoir, mais les gens s’informent plus à travers une presse qui favorise le spectaculaire ou l’émotion, que par des média d’analyses et de réflexions. J’ai essayé d’éviter « l’entre-soi », de parler à tous et à chacun, « d’homme à homme » en quelque sorte. De montrer plutôt que de démontrer. De tendre un miroir, non déformant, car, si les miroirs réfléchissent, ils font parfois réfléchir ceux qui s’y voient. Les miroirs nous montrent aussi ce qu’il y a derrière nous, ils nous inscrivent dans un décor, dans le monde, objectivement. Ils nous mettent en perspective et face à nous même. Dans le même temps. Ce film s’adresse d’abord, à ceux qui un jour, demain peut-être, seraient tentés de répondre au chant de ces sirènes. Je ne sais pas si c’est utile. Je suis sûr, en tout cas, que ça vaut la peine d’essayer. […] Lire la note d’intention dans son intégralité


    Extrait de l’entretien avec L. Belvaux publié dans le dossier de presse du film :


    Votre film se distingue de ce qu’on appelait des « fictions de gauche », qui étaient des dossiers résolument à charge. Vous êtes davantage dans une démarche pour comprendre, notamment ce qui peut susciter l’adhésion à un mouvement d’extrême droite. Mais, avec le cinéma, n’y a-t-il pas un danger d’empathie avec « l’ennemi » ?
    Lucas Belvaux : Oui. Mais on a besoin de cette empathie. Il est inhérent à la démarche puisque j’essaie de comprendre comment on en arrive là. Mais empathie ne veut pas dire identification. Je n’ai pas forcément envie que le spectateur s’identifie au personnage. L’idée, c’est d’être avec lui, à côté, d’essayer de se mettre à sa place, de partager son point de vue, pour essayer de comprendre son cheminement. Comprendre une démarche, ce n’est pas la partager. Ce n’est pas l’excuser. C’est une chose à laquelle j’accorde beaucoup d’attention en tant que cinéaste. Je veux que le spectateur soit libre de penser ce qu’il veut. Je pense qu’il y a un cinéma totalitaire, qui impose ses points de vue en instrumentalisant ses personnages, les “bons” comme les “méchants”. Et qu’il y a un cinéma qui raconte les histoires “démocratiquement”, où le cinéaste ne cache pas son point de vue, mais laisse assez de liberté au spectateur pour qu’il puisse développer le sien. […]

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     Projection du très beau film: Incendies

    Mardi 7 mars 2017 à 20h
    au cinéma Opéra
    6 Rue Joseph Serlin, 69001 Lyon
    "Femmes en résistances" en présence de Soha Bechara

    Organisé par Comité de soutien à Georges Abdallah de LYON avec le soutien du collectif 69 Palestine

    bande annonce:

    Film de Denis Villeneuve tiré du roman et de la pièce de Wajdi Maouwad

     


  • Palestine

     

    Michael Bennett refuse un voyage en Israël organisé par la NFL et le gouvernement

    Pendant l'intersaison, la NFL (National Football League USA) visite parfois d'autres pays. Cette
    saison, un voyage en Israël est notamment au programme.

    Michael Bennett devait en faire partie. Mais il a changé d'avis, avant d'expliquer ses raisons sur Twitter.

    « Cher Monde,

    Je devais participer à une visite en Israël avec d'autres joueurs NFL. J'étais impatient de voir de mes propres yeux cette partie du monde historique et remarquables. Je ne savais pas, avant de lire un article sur le voyage dans le Times of Israël, que mon itinéraire était construite par le gouvernement israélien afin de me faire passer, selon les mots d'un membre du gouvernement, pour un « un influenceur et un leader d'opinion », qui deviendrait « un ambassadeur. » Je ne veux pas être utilisé de cette manière. Quand j'irai en Israël -- et je prévois de le faire -- ce sera pour voir non seulement l'Israël, mais aussi la Cisjordanie et Gaza, pour voir comment les Palestiniens, qui ont été chez eux sur cette terre pendant des milliers d'années, vivent.

    Un de mes héros a toujours été Mohammed Ali. Je sais que Ali a toujours été du côté des Palestiniens, en visitant des camps de réfugiés, en allant à des manifestations et en étant toujours prêt à être une voix pour les sans-voix. » Je veux être une voix pour les sans-voix, et je ne peux pas faire ça en participant à ce genre de voyage en Israël.

    Je sais que cela va énerver certaines personnes et en inspirer d'autres. Mais sachez que je ne fais pas ça pour vous, mais pour être en accord avec mes propres valeurs et ma conscience. Comme le disait l'athlète olympique John Carlos en 1968, « Il n'y a pas de dévouement partiel à la justice. Vous en êtes, ou pas. » J'en suis.
    Sincèrement,
    Michael Bennett

    Quand Ronnie Barkan,  répond aux attaques d’un journaliste israélien surexcité

    Ronnie Barkan, qui se présente lui-même comme « un citoyen israélien privilégié d’origine juive« , est un opposant israélien, fondateur du mouvement « The Boycott from Within »

     


  • Rassemblement de soutien aux délinquants solidaires le 10 février

    Rassemblement en soutien aux accusé.e.s de délit de solidarité, vendredi 10 février à 19h, place des Terreaux à Lyon. La solidarité n’est pas un délit. Personne n’est illégal.
    PERSONNE N’EST ILLÉGAL.
    LA SOLIDARITÉ N’EST PAS UN DÉLIT.
    Rejoignez-nous vendredi pour se tenir debout, ensemble, dignes et solidaires.
    Ce vendredi 10 février a lieu la délibération pour le procès de Cédric Herrou, criminalisé pour avoir tendu la main à des personnes en détresse.
    Solidaires avec les migrant.e.s qui, après avoir franchi les obstacles imposés par la peur, la haine et les calculs politiques (mais inefficaces pour lutter contre le terrorisme, comme l’a montré Anis Amri), arrivent dans notre pays.
    Solidaires avec celles et ceux qui les accueillent, leur apportent couvertures, nourriture, boissons chaudes, vêtements, tentes, secours médical, assistance juridique, chaleur et amitié.
    Nous refusons que l’entraide et la solidarité soient criminalisées et que les membres d’associations d’aide aux migrant.e.s soient arrêtés et mis en examen pour avoir fait preuve d’humanité et de générosité. Nous demandons à l’État et à la Justice française d’assumer leur responsabilité face au désastre humanitaire en cours à nos frontières. L’action de nos camarades montre l’exemple d’un accueil qui devrait être supporté par le pays entier, pas faire l’objet d’une dénonciation infamante. Nous rappelons que les personnes accueillies ont fui leur pays d’origine en proie à des situations intolérables largement entretenues par les politiques interventionnistes et guerrières des gouvernements des pays dits "développés".
    Nous vous invitons donc à nous rejoindre pour un rassemblement en soutien aux membres du Collectif Roya Citoyenne et à tou.te.s les citoyen.ne.s solidaires
    vendredi 10 février à 19h
    Place des Terreaux à Lyon.
    Le collectif ENS de Lyon en Lutte.


  • Soupe solidaire jeudi 26 janvier devant l’école Berthelot à 18h

     

    Parents d’élèves de l’école Berthelot (Lyon 7ème), nous nous indignons d’apprendre qu’une famille de l’école avec deux enfants de un an et cinq ans se retrouve à la rue en plein froid hivernal. C’est pourquoi nous vous invitons à venir partager avec nous une soupe solidaire, jeudi 26 janvier à 18h devant l’école Berthelot, au 17-21 avenue Berthelot, Lyon 69007, tram T2, arrêt centre Berthelot. La recette sera reversée à la famille sans abri de l’école.
    A l’école Berthelot, comme trop souvent ailleurs dans Lyon, des enfants dorment dans la rue !
    En tant que parents d’élèves, nous nous indignons d’apprendre qu’une famille de l’école avec deux enfants de un an et cinq ans se retrouve à la rue en plein froid hivernal. En effet, malgré les multiples démarches auprès du 115 et de la Maison de la Veille Sociale, aucune solution d’hébergement n’a été proposée à cette famille, alors que les températures battent des records de froid.
    Nous ne pouvons rester indifférents face à ce drame humain, et demandons aux autorités compétentes de prendre des mesures rapides pour mettre cette famille à l’abri.
    Nous rappelons aussi que tout individu à la rue a droit à un toit, quelle que soit sa situation. Ce droit devient évidemment une urgence vitale quand les températures deviennent glaciales.
    Cette famille à la rue à l’école Berthelot n’est malheureusement pas un cas isolé, et trop de personnes aujourd’hui en détresse appellent le 115 sans solutions d’hébergement. Comme beaucoup d’autres, parents d’élèves, enseignants mobilisés dans les écoles, travailleurs de l’urgence sociale, et simples citoyens nous sommes révoltés par cette situation. Nous souhaitons que notre mobilisation, ajoutée à toutes les autres, participe à trouver des solutions durables d’hébergement pour toutes les personnes aujourd’hui dans la rue en plein grand froid, mais aussi après.
    C’est pourquoi nous vous invitons à venir partager avec nous une soupe solidaire, jeudi 26 janvier à 18h devant l’école Berthelot, au 17-21 avenue Berthelot, Lyon 69007, tram T2, arrêt Centre Berthelot.
    La recette sera reversée à la famille sans abri de l’école.
    Parents d’élèves FCPE de l’école Berthelot, le 17 janvier 2017.
    Contact : conseil.berthelot-lyon7@fcpe69.fr


  • Cette vidéo a été réalisée par les camarades anglais des IWW qui travaillent chez deliveroo. Ils cherchent à informer le plus largement possible les coursiers de ce qu'ils ont réalisé au Royaume Uni et à tenter la mise en place d'une organisation au niveau international.

     

     





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