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    Des familles toujours à la rue sans logement

    Des écoles toujours occupées...

     

    Rassemblement à l'appel du collectif jamais sans toit   

    devant la Préfecture (rue Dunoir)

                             mercredi 06/05 à 17h


  • Les origines du chat noir de la cnt

     

     

    Les origines de ce symbole ne sont pas claires, mais selon une anecdote, il proviendrait d'une grève qui aurait dégénéré. Plusieurs membres ont été tabassé et conduit à l'hôpital, au même moment un chat noir maigrelet s'installa dans le camp des grévistes. Les grévistes nourrirent

    le chat et il reprit force à mesure que la grève tournait en faveur des travailleurs. Finalement, les travailleurs virent quelques-unes de leurs demandes satisfaites et adoptèrent le chat comme mascotte Dessiné avec le dos arqué, la queue ébouriffée, montrant les griffes et les dents, le Sabo-Cat ou Tabby-Cat a longtemps été un symbole de l'Industrial Workers of the World. Il a été dessiné par Ralph Chaplin, un des précurseurs des illustrations surnommées «agitations silencieuses» Ces illustrations étaient étroitement liées à la vie des sans domicile fixe. Bien qu'aujourd'hui généralement associé à l'IWW (parfois même en tant que mascotte), il s'agissait au départ d'un appel à l'action directe sur le lieu de production, en particulier au sabotage. Comme sa position le suggère, le chat symbolise la grève et le syndicalisme radical. L'IWW était un syndicat important, il fut notamment le premier syndicat américain à recruter et à collaborer avec des femmes et des personnes de couleurs, de plus il joua un rôle crucial dans la lutte pour les 8 heures de travail par jour et la liberté d'expression au travail dans touts le états-unis

     

     


  • Pour un 1er mai de combat !

    Fête du travail ou journée de lutte des travailleur.se.s ?

    Comme chaque année dans de nombreux pays, le 1er mai sera l’occasion pour les travailleur.se.s et leurs organisations de célébrer l’histoire du mouvement social et syndical. Pourtant, faut il le rappeler, cette journée est à son origine une journée de
    lutte plutôt que de célébration. Elle trouve ses racines dans la grève générale du 1er mai 1886 aux États Unis (impulsée – certains l’oublieront volontiers – par un syndicalisme libertaire) pour la journée de travail de huit heures : revendication qui sera portée par la classe ouvrière en France et ailleurs dès le 1er mai 1890, à l’occasion de la première « Journée internationale des travailleurs ». C’est en 1919, suite à la victoire de la journée de huit heures, que le 1er mai deviendra en France un jour chômé. Plus tard, en 1941, le régime de Vichy lui donnera le nom de « Fête du travail », appellation qui aujourd’hui encore satisfait celles et ceux qui ne veulent pas se souvenir que le 1er mai est avant tout un jour de revendications et de lutte des exploité.e.s.

    Pour la CNT, cela ne fait aucun doute : le 1er mai reste celui de la lutte des classes, comme nous le rappelle quotidiennement la triste réalité du monde capitaliste : chômage, précarité, pauvreté, conditions de travail indignes...

    Construire la convergence des luttes sociales

    En France, les raisons de faire du 1er mai 2015 une journée de combat et de convergence des revendications de l’ensemble des travailleuses et travailleurs sont nombreuses. Loi Macron, CICE, réductions drastiques des budgets alloués à la santé et au social, fermetures d’hôpitaux, de classes et d’usines, réforme de l’assurance chômage, stagnation des salaires... partout la colère enfle face au désastre économique, politique, écologique et social qui frappe de plein fouet les classes populaires du pays. Le patronat dispose aujourd’hui d’un gouvernement enclin à réaliser ses rêves les plus fous. Tous les acquis historiques obtenus à travers les luttes sociales sont dans la ligne de mire de cette alliance de la classe dominante. L’extrême droite prospère à l’avantage de celles ci en divisant les travailleur.se.s. Il est donc plus que jamais nécessaire de retrouver l’espoir et de construire une dynamique de lutte.

    Renforcer la solidarite internationale

    Partout dans le monde, travailleurs et travailleuses connaissent les mêmes conséquences de la domination capitaliste. En Espagne, les mesures d’austérité et la pauvreté sont devenues insupportables. Face à la colère qui gronde, le gouvernement a imposé la réforme la plus liberticide à l’égard du mouvement social depuis le franquisme : la ley mordaza (loi du bâillon). En Grèce, les espoirs suscités par les promesses de Syriza ont vite été balayés par la dure réalité du libéralisme. Les classes populaires souffrent toujours autant de cette « crise » imposée par le capital. En Belgique, les attaques faites au droit du travail, à la protection sociale et au droit de grève atteignent des sommets. En Pologne, les récentes grèves des mineurs nous rappellent que l’exploitation patronale contemporaine n’a rien à envier au XIXe siècle. En Ukraine, en Tunisie, en Algérie, en Palestine... les populations subissent une situation sociale dramatique. Ne se laissent entrevoir comme perspectives que des choix équivalant à celui entre la peste et le choléra...

    Agir pour un autre futur

    Parce que, au delà des frontières, seule la lutte des classes réunit les intérêts de l’ensemble des travailleuses et des travailleurs face à ceux et celles qui les exploitent, la CNT réaffirme qu’il est nécessaire de construire l’alternative sociale, économique et politique. Puisque ce sont celles et ceux qui souffrent au travail et qui produisent les richesses et les services, il est nécessaire de développer une autre société dans laquelle ce sont les travailleuses et les travailleurs qui contrôlent la production et assurent une répartition égalitaire des richesses. Face à l’État et au patronat, la socialisation des entreprises, la démocratie directe et la justice sociale ne sont pas des utopies, mais constituent un projet de société révolutionnaire dont sont porteuses nos pratiques syndicales au quotidien.

    Toutes et tous dans la rue le 1er mai !

    Rendez-vous place Jean Jaures à 10h 30

     


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    Retour sur la journée du 09 avril

     

    Avec plus de 7500 manifestants à Lyon (300000 en France), la journée d'action contre l'austérité et la loi Macron de ce jeudi 9 avril est l'une des plus grosses mobilisations syndicales depuis l'accession de François Hollande au pouvoir, preuve que, de plus en plus, la colère des travailleur-e-s gronde face à une situation économique, sociale et politique dramatique.

    Bien entendu la CNT interco69 a participé activement à cette journée et à sa préparation, tout en disant qu'elle était loin d'être suffisante et ne pouvait constituer une fin en soi.

    Mais comment ne pas être mal à l'aise au milieu de cette foule résignée marchant tranquillement et scandant des slogans simulacres de menaces et de bagarres sans autre perspective de lutte que le prochain 1er mai. Aucune aucune aucune hé-si-ta-tion....

    Puis arrivent les camion poubelles qui suivent lentement, ramassent et effacent les traces d’un désordre qui ne survient pas.

    Une journée de lutte pourquoi ? Pour canaliser notre révolte ? Pour se dire qu'on ne se laisse pas faire, qu'on agit ? Ne nous laissons plus endormir par les boniments d'une hiérarchie militante qui gère les syndicats comme des entreprises.

    Pour faire redescendre la pression, ils nous donnent une journée où ils nous font crier « tout est à nous rien n'est à eux.... »

    Tout est à nous ? Mais tout quoi ?

    La compétitivité, la spéculation, le productivisme, l'état contremaître du capital, la flexibilité, les places financières, la communication en entreprise et la solitude de tous, les derniers gadgets de luxe à la mode, la pollution au nom du profit, la valeur d'échange, la télé assommoir, la société métabolisme du capital que l'on produit et qui se dresse tous les jours face à nous, contre nous....

    Tout ce qu'ils ont, on en veux pas. On ne veux pas autogérer la merde capitaliste, on veut quelque chose de neuf, qui ne sois pas basé sur la mise en concurrence des individus et le mépris.

    En effet le capitalisme fonctionne en se basant sur trois formes de mépris des gens : l'atteinte physique, l'atteinte juridique et l'atteinte à la dignité de l'individu ; correspondant aux trois formes de reconnaissance d'une personne dans une société.

    « Nourris les vautours et ils t’arracheront les yeux »

    Face à ça, sans réelle perspective de lutte, la colère se transforme en frustration et rancœur, terreau de l’extrême droite.

    Combien de temps allons nous encore nous laisser berner ?

    La solution ne viendra pas de quelconques sauveurs, la solution c'est de reprendre nos affaires en mains ici et maintenant.

    Pour nous, cette journée de grève et de manifestations doit être un point d'appui pour la construction d'une mobilisation sociale d'ampleur. Une suite à la mobilisation du 9 avril doit voir le jour au plus vite afin que l'espoir qu'elle suscite aujourd'hui chez les travailleur-s-se se transforme demain en victoires. Pour cela, il est nécessaire que la lutte se construise à la base et que l'ensemble des travailleur-s-e et des équipes syndicales combatives développent les initiatives locales, alors que la priorité accordée par les bureaucraties syndicales à la manifestation parisienne a exclu de fait une grande partie des travailleur-se-s. Cette stratégie malheureuse aura permis à des médias déjà peu enclins à donner sa vraie place au mouvement social l'occasion d'analyser cette journée uniquement comme une démonstration de force de certaines centrales syndicales.


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    Veolia vend ses parts dans des entreprises israéliennes visées par la campagne de boycott

    Les militants de la société civile palestinienne ont annoncé la décision du géant français Veolia de vendre la quasi-totalité de ses activités professionnelles en Israël comme une grande victoire du mouvement mondial de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS). La vente fait suite à une campagne mondiale contre le rôle de l'entreprise dans les colonies israéliennes illégales, qui coûte à la firme des milliards de dollars en contrats perdus.

    pour la suite cliquez ici (site bds france)

     


  • Leurs profits sont notre misère, tous et toutes en lutte le 09 avril

     

    La cnt interco 69 se joint à l'appel intersyndical à la grève le 9 avril, et à la manifestation unitaire à 10h30 Place Jean Macé

     

    Suppression des 35h (décidé le 30/03), ANI, loi macron, CICE, réduction drastique des budgets alloués à la santé, au social, et à la culture, fermetures d'hôpitaux, de classes, d'usines, réforme de l'assurance chômage, stagnation des salaires..., sous la direction du patronat, des marchés financiers et plus largement du capital, les pouvoirs publics organisent, généralisent et accentuent les politiques d'austérité.

    Ces politiques ne cessent de nourrir la soi-disant crise, la destruction de notre qualité de vie, l'explosion de la précarité et la paupérisation de millions de personnes.

    Tout cela accompagné d'une accentuation des politiques répressives et/ou xénophobes.

     

    Austérité et précarité à vie, insécurité sociale généralisée, cette vie là nous n'en voulons pas !

    Pour la cnt interco69, plus que jamais l'heure est à une riposte d'ampleur !

     

    Ne nous contentons pas de négocier la longueur de notre laisse, révoltons nous!

     

    Partout la colère enfle face au désastre économique, politique, sociale et écologique qui frappe de plein fouet les classes populaires, et plus largement la société. Favorisant l'émergence d'une nouvelle dynamique d'espoirs et de luttes qu'il nous faut faire converger, d'abord dans la rue le 9 avril, et au delà.

     

    Face à ces attaques, il n'est plus temps pour les compromis.

    Notre révolte est impossible à négocier, aussi coriace que le désir obstiné de refuser un monde inhumain.

     

    On nous parle d'une nécessaire rigueur budgétaire , le pacte de « responsabilité » a pour but de diminuer de 50 milliards d'euros la dépense publique.

    C'est toute l'action publique qui est ainsi remise en cause, alors que dans le même temps c'est plus de 200 milliards d'euros qui sont octroyés au patronat via la multiplication des exonérations et allègements des cotisations sociales et des impôts, et qu'environ 590 milliards d'avoir français sont cachés dans des paradis fiscaux.

    La rigueur budgétaire n'est qu'une excuse pour laisser encore plus de champs au secteur privé au détriment de notre qualité de vie.

     

    Ils nous disent que pour sortir de la crise, il faut se serrer la ceinture, que les entreprises en France étouffent sous les règlements et les taxes, que pour rester compétitif et « sécuriser » les emplois, il faut libéraliser le marché du travail

    De quelle crise parle t-on ? Les riches sont de plus en plus riches, les dividendes et les profits ne cessent d'augmenter. Il s’agit juste d'un problème de répartition : les richesses sont de plus en plus accaparées par une petite minorité. Les entreprises sont loin de mourir étouffées, les actionnaires n'ont jamais autant engrangé d'argent et les PDG français sont parmi les mieux payés d'Europe.

    Quant à la compétitivité, ce n'est pas une fatalité, on pourrait très bien réguler l'économie de la France pour qu'elle ne sois pas soumise à la compétitivité mondialisée sans pour autant qu'elle s'écroule. Ensuite le problème n'est pas le coup du travail, de la réglementation du droit du travail et de la protection social, mais le coup du capital, les bénéfices accaparés par les patrons, les dividendes par les actionnaires, les très hauts salaires et autres bonus...sans ça les coups de production en France seraient largement plus bas.

    La sécurisation de l'emploi n'est qu'un chantage ignoble, une vaste fumisterie qui n'a pour but que de faire accepter aux salarié-es un recul de leurs conditions de travail et de vie, sacrifiées au nom de la rentabilité financière.

     

    Ils nous disent que les entreprises créent de la richesse, qu'elles sont le moteur de notre société.

    Ce sont les travailleur-euses qui créent de la richesse, et pas seulement économique mais sociale et humaine. Les entreprises ne sont qu'un lieu d'exploitation, de domination et d'aliénation. Dans notre société si le travail crée de la richesse, il n'enrichit personne, Ce qui enrichit, c’est d’exploiter le travail des autres.

     

    Ils nous disent:  ce qui est bon pour le patronat est bon pour l'économie  quelles qu'en soient les conséquences pour les salariés. Mais la « théorie du ruissellement » ne fonctionne pas, plus les riches sont riches plus ils veulent le devenir. Ils ne connaissent que la « théorie du siphon » : ils siphonnent les richesses et nos revenus au maximum. Ils ne redistribuent jamais sans y être contraints.

    Nous n'aurons que ce que nous prendrons !

     

    Ils nous disent qu'il faut des riches qui s'enrichissent et des jeunes qui veulent devenir milliardaire sinon la société s'écroule.

    Il est impossible d’être à la fois milliardaire et honnête : parce que pour posséder tant d’argent il faut avoir exploité, surexploité, volé le travail des autres, spéculé avec, triché, fraudé, accumulé, écrasé, sinon c’est impossible. Et il faut faire preuve d'un insupportable cynisme et d'un profond mépris envers l'humanité pour accumuler autant de richesses alors qu'autant de gens dans le monde sont dans la misère

     

    Ils nous disent qu'il faut être responsable et réaliste, qu'il n'y a pas d'alternative à toujours plus de libéralisme, que toute remise en question n'est que pure délire.

    Ainsi nous serions condamné-es à subir exploitation et aliénation sans autre perspective que les rapports humains et existentiels qu'ils nous imposent: rapports de force, domination, soumission, concurrence, individualisme, frustrations... Nous valons mieux que ça! Soyons responsables virons tous ces bouffons!

    Ils nous noient sous une propagande incessante qui étouffe et rend silencieuse toute contestation.

    « Le jour viendra où notre silence sera plus puissant que les voix que vous étranglez aujourd’hui. » (Auguste Spies)

    Pour l'instant, notre silence est faible et solitaire, il n’est rien qu’une non-voix banale. Alors, à l’aide des expériences de chacun, à travers des luttes quotidiennes sur les lieux de travail et ailleurs, nous tentons de le nourrir, ce silence, qu’il se transforme en une masse dure, quelque chose de résistant. C’est eux ou nous!

    Contrairement à ce qu'ils veulent nous faire avaler, leurs grandes vérités libérales ne reposent sur rien de scientifique, ce ne sont que de pures croyances !

    «Un jour c'est sûr viendra le jour pur où des maîtres penseurs on ferra de l'ordure » (Bonvoisin)

     

    Ils nous disent que tout est pour le mieux, que nous sommes libres parce que nous sommes en démocratie.

    Comment parler de démocratie alors que la doctrine libérale coupe le politique (au sens restreint de gouvernement de la nation) de la vie sociale, de la vie de tous les jours, vie dans laquelle nous sommes confrontés à un autre type de pouvoir que le pouvoir politique, celui des patrons, des chefs et des gens qui font autorité. Cette coupure nous laisse entièrement soumis au pouvoir social dans les autres domaines, notamment celui des entreprises.

    Comment parler de démocratie alors que dans notre société c'est l'argent qui donne le pouvoir, et que plus de la moitié des salariés gagnent un salaire net inférieur à 1700€, que la précarité se généralise, que plus de 10 millions de personnes vivent avec moins de 900€ par mois, alors que, à l'autre pôle, s'accumulent d'immenses fortunes, Il y a 78 milliardaires en France (le record d‘Europe), deux d’entre eux possèdent plus que 20 millions de Français.

    Comment y aurait-il démocratie, quand toute la vie économique et sociale est entre les mains d'une oligarchie qui a également la mainmise sur les finances publique.

    Nous sommes pour une démocratie directe qui ne s'arrête pas à la porte des entreprises et qui ne se limite pas à voter pour des représentants. Nous revendiquons l'autogestion des entreprises par les travailleur-es et le contrôle des services publiques par les usager-es et les salarié-es. La démocratie c'est la prise en main par la population de ses affaires, à touts les niveaux de la société, et le refus de se voir confisquer le pouvoir par des dirigeants. Cela suppose de rompre avec la passivité dans laquelle l'oligarchie actuelle enferme la majorité de la population.

     

    Ils nous disent unité nationale contre les ennemis de la République

    La République n’est pas un fétiche abstrait qui peut s’épanouir en même temps que le chômage et que se casse le droit du travail.

    Unité avec qui ? Les porcs qui s'engraissent sur notre dos ? Ce sont eux les véritables ennemis du peuple. L' exploitation et les mauvaises conditions de travail tuent plus que n'importe quels fanatiques, et dans l'indifférence quasi totale.

    En général quand on nous parle d'unité nationale ou d'union sacrée c'est pour nous emmener à l’abattoir que ce soi militairement ou économiquement.

     

    Nous avons conscience qu'une journée de grève et de manif ne changera rien . Elle n' a d’intérêt que si elle marque le début de la construction d'un mouvement de luttes. N'attendons pas que l'ordre de se révolter vienne d'en haut, d'une quelconque bureaucratie. Organisons nous dès maintenant pour nous prendre en main.

     

    Ceux qui luttent peuvent perdre mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu

     


  • Palestine

     

    BDS (boycott désinvestissement sanction 11 avril 2015 : action nationale prévue le 11 avril contre TEVA* : rendez-vous à 15 h. devant la Grande pharmacie lyonnaise, rue de la République, niveau Cordeliers. S’habiller en blouses blanches.