• manif du 1er mai à 10h30 à Jean Macé


  • Elections: demandez le programme  suite
    quelques citations à réfléchir

    Pendant la IVe République, de 1946 à 1958, Ferdinand Lop avait bâti un programme électoral, baptisé « lopéothérapie », qui préconisait :
    l'extinction du paupérisme à partir de dix heures du soir ;
    la construction d'un pont de 300 m de large pour abriter les clochards ;
    la prolongation de la rade de Brest jusqu’à Montmartre et l'extension du boulevard Saint-Michel jusqu’à la mer (dans les deux sens) ;
    l'installation d'un toboggan place de la Sorbonne pour le délassement des troupes estudiantines ;
    la nationalisation des maisons closes pour que les filles puissent avoir les avantages de la fonction publique ;
    le raccourcissement de la grossesse des femmes de neuf à sept mois ;
    l'aménagement de trottoirs roulants pour faciliter le labeur des péripatéticiennes ;
    l'octroi d'une pension à la femme du soldat inconnu ;
    l’installation de Paris à la campagne pour que les habitants profitent de l’air pur ;
    la suppression du wagon de queue du métro.
    Il expliquait le caractère vague de son programme par la crainte qu'on ne le lui vole. Il préférait « attendre d'être au gouvernement pour le révéler ».

     


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    quelques citations à réfléchir

     

    « Appartenir à la classe dominante, c’est d’abord être convaincu que l’on peut transgresser la lettre de la règle sans en trahir l’esprit , pour la bonne raison qu’en tant que faiseur de règle, on considère que l’on incarne ledit esprit. Plus encore, le « responsable » va éprouver le sentiment d’avoir pris des risques en décidant des règles, ce dont il va pouvoir tirer un orgueil personnel pour légitimer sa position à ses yeux et même mépriser les dominés . C’est cette espèce de sens du réalisme qui fonde la connivence entre les membres de la classe dominante et qui est activé en particulier lorsque l’un de ses membres est confronté à la critique. » Luc Boltanski

    « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » La Boétie

    "au train où vont les choses... mais si le train où vont les choses est immobilisé, les choses ne vont plus où elles devraient aller. Tout es perturbé, disloqué!" Frédéric Othon Théodore Aristidès 

     






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